L’ostéopathie est une pratique manuelle qui est autant basée sur des principes que des techniques. Elle nécessite une connaissance approfondie de l’anatomie du corps humain ainsi que de sa physiologie et sa biomécanique. Autrement dit, il faut être capable de comprendre son fonctionnement. Nous n’avons besoin d’intervenir que lorsque le corps ne sait plus comment réagir ou quand il se trompe : qu’il laisse des adaptations s’installer alors qu’elles vont créer des troubles (par exemple juste avant : les méplats des bébés, les tendinites…). Là il est judicieux de faire une séance d’ostéopathie en prévention.
Ceux sur lesquels s’appuie l’ostéopathie sont au nombre de 3 : le principe de globalité, de non-douleur, et celui d’auto guérison.
C’est une enveloppe (ou des feuillets) qui entoure et protège les différentes structures du corps. Entre ces feuillets passent la vascularisation et l’innervation du corps. Ainsi, un biceps peut bouger sans irriter les muscles autour de lui.
Il existe 5 types de techniques en ostéopathie et, une fois que l’on a compris leurs principes, on peut en appliquer une infinité. Cela permet de les adapter à chacun d’entre vous, avec notre sensibilité.
Elles consistent à amener les structures dans le paramètre où elles ont perdu leur mobilité.
À l’inverse des techniques directes, on amène les structures dans le sens où leur mobilité est correcte, avant de les ramener à leur position normale.
Le corps bouge de manière inconsciente. La mobilité la plus perceptible pour vous est celle de la respiration. Pour ces techniques, nous nous plaçons sur la zone à traiter et nous suivons les mouvements du corps jusqu’à ce qu’il retrouve un fonctionnement normal.
Elles consistent à attendre dans une position antalgique un relâchement tissulaire.
On stimule un nerf pour qu’il fasse réagir les autres structures qu’il innerve et qu’elles retrouvent un fonctionnement normal.